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Les personnes qui viendraient régulièrement juste pour... | Sujets |
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Mon dernier poème écrit cette nuit à lire sur mon blog. |
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Titres en rimes
Pour Sardou, ça se passait 10 ans plus tôt Hugues Aufray naviguait sur le Santiano Patrick Juvet faisait des rêves immoraux Quant à toi, tu m’emmenais en tango
Michel Sardou attendait les bateaux du courrier Pour Laurent Voulzy, son idéal était simplifié Johnny Hallyday est prêt à dire, enfin, sa vérité Toi, ton souhait le plus cher : tu voulais chanter
Sardou se promenait près des lacs du Connemara Jacques Brel espérait qu’elle ne le quitte pas Philippe Timsit attendait Henri,... |
Mieux que du Prozac
Bien plus efficace qu’un antidépresseur Avec peu de choses, tu me rends le sourire Parfois, sans le savoir, tu fais mon bonheur Avec trois fois rien, tu sais me faire plaisir
Une émission avec toi à la télé régionale Que vite je télécharge et hop, sur mon ordi Je la regarde en boucle et retrouve le moral Oui, je sais, je suis fan de toi et alors tant pis
Un article te concernant dans le journal local Quand en plus, il est agrémenté de photos Il ne m’en faut pas plus, je trouve... |
Notre chapelle
Elle est située au fond du parc Personne ne la remarque Lieu secret et consacré Endroit intime et privé
Elle est notre petite cathédrale Nos cérémonies familiales Y sont toujours organisées En toute dignité et solennité
Il y a 40 ans, un dimanche matin Il y eu le baptême de Benjamin Il y a déjà quelques années Nous nous y sommes mariés
En cet après-midi de février Toi et moi, on est allé y prier Nous avons déposé des fleurs Entre souvenirs et bonheur. |
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Tu t’es permis de le juger. Tu t’es permis de le critiquer. Tu t’es permis de me conseiller. De le zapper, de le jeter.
Mais toi, qui es-tu ? Pour qui te prends-tu ? Mais toi, tu t’es vu ? Et dire que je t’ai cru !
Du faux, tu es le maître Tout est dans le paraître Je regrette de te connaître En moi, la rage tu as fais naître
Tu prônais la fidélité Tu prônais l’honnêteté De moi, tu t’es bien moquée 2014, à croire que j’ai rêvé.
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Notre Saint-Valentin
Tu m’as proposé une soirée de folie A s’aimer jusqu’au bout de la nuit Une chambre avec un lit grandiose Parsemé de milliers de pétales de roses Au milieu de ce paradis, moi ta princesse Je pose sur toi mon regard tendresse Tu m’attires à toi et l’on s’embrasse Ta peau contre ma peau et tu m’enlaces L’odeur de mes cheveux, la chaleur de mon corps Ont raison de ta résistance, je t’ai jeté un sort Il y a aussi cette baignoire aux senteurs enivrantes |
Le Jardin délice
En ce mois de février 2024 Je décide de revenir vers toi Tu reconnais toutes tes erreurs Elles te freinent, te font peur
Qu’importe, plus de temps perdu Dans nos vies, le soleil est revenu Dans cette jolie chambre d’hôte Nous apprenons de nos fautes
Soirée tranquille, dîner savoureux Dehors, le temps est pluvieux Cette douce nuit nous appartient Nos téléphones sont éteints
Oublies ce qui t’attend demain La confrontation avec Benjamin Tu as fait... |
Flashback
Tu te souviens de moi, tu te souviens de tout De notre rencontre, de notre premier rendez-vous De mes pantalons en jean, de mes jupes en velours De nos gentils mensonges pour cacher notre amour
De cette école religieuse, de ma bande d’amis Des Coca-Cola partagés au Bar de la Mairie Des lapins dessinés sur mes cahiers d’écolier De ma moue boudeuse quand j’étais contrariée
De notre premier baiser juste pour t’encourager Ça ne devait être qu’une bise, nos lèvres ont dévié |
Lire mon poème sur mon blog. |
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Quand tout cela a commencé ? Je ne m’en souviens pas vraiment D’abord, des regards échangés Qui restent accrochés, souriants
Puis dans mon dos, ta main posée Sous prétexte de m’indiquer ce plat Soi-disant délicieux présenté au dîner Mais il y a eu toutes ces autres fois…
Je n’oublie pas ces cafés en terrasse Le matin, quand l’hôtel s’éveillait à peine L’air de rien, tu m’observais dans la glace Traversant l’esplanade avec ma chienne
Et ce... |
Manque de chance, il n’y a plus de place Changement de lieu mais pas de chaîne Mais finalement hésitation qui agace Une nouvelle réservation incertaine
On réfléchit, on pèse le contre et le pour J’envoie un ultime mail hypothétique J’espère au mieux un message retour Mais la réponse est inespérée et magique
Quelle déception une fois dans les lieux Nous ne trouvions pas nos marques Que de regrets ; là-bas, c’était mieux Une seule envie : allez, on rembarque
Mais nous rencontrons... |
…. cette lettre que je ne t’enverrais pas. Je la posterais seulement sur mon site. Tu étais mon frère. Non pas par le sang mais parce que nous nous étions choisis. On se ressemblait tellement. Comme on aimait à le dire : nous n’étions pas têtus, mais déterminés. On se comprenait d’un regard. On aimait le bleu et les montres. On détestait les arêtes de poisson. On avait les mêmes fous-rires. On avait les mêmes colères. Tu m’appelais quinze, vingt fois par jour. Depuis 20 ans, mon téléphone s’est tu… |
Il savait capturer le moment Celui de nos regards échangés Celui de notre complicité Celui de nos égarements
Il nous photographiait sur le vif Nous ne nous en apercevions pas Comme si de rien n’était, il était là L’oeil toujours rivé à son objectif
Quant aux vidéos de nos fous rires Il ne ratait jamais ces instants partagés Notre connivence, il savait la filmer Ça reste de très jolis souvenirs
Maintenant, les photos de toi Sont bien trop impersonnelles Elle sont fades, pas naturelles |
En ce dimanche matin de novembre froid et pluvieux Sortirent du chenal les bateaux de 30 skippers courageux Pour certains, il y a eu des retours au port prématurés Les plus chanceux sont repartis encore plus déterminés
La descente de l’Atlantique a été fatale pour quelques uns Et le Cap de Bonne Espérance arriva en vue de nos marins Et voilà, c’était le début de l’aventure dans les mers du sud La bataille pour la première place au classement était rude
A terre, nous suivions leurs aventures, leur détresse,... |
En ce samedi tellement beau Et l’été s’annonce très chaud Toi et moi, nous prenons l’auto En direction de Porto Cristo D’abord, déjeuner dans un resto Au menu, Pa Amb Oli et Laccao Ensuite, une balade en duo Sur le port admirer les bateaux Le soleil nous brûle la peau Une jolie journée de repos Mais déjà l’appel du Merendero.
M.M. – 01 septembre 2019 [Vous devez être inscrit et connecté... |
Juin, premier jour du mois Un seul regard m’a suffit Malade depuis si longtemps Petit corps tellement amaigri Y a pas 05 ans que tu naissais…
M.M. – 15 Juin 2019 |
Cet échange nocturne de médailles Ce faux engagement de fiançailles Cette promesse illusoire d’épousailles
Je rêvais de châteaux en Espagne Ce fut une maison à la campagne Et plutôt comparable au bagne
Cette fausse-couche inattendue Un faux-espoir passé inaperçu Et même pas une main tendue
Ce n’est pas un manque de confiance Juste l’impression que rien n’avance Qu’entre nous s’installe une distance
L’influence de certaines personnes C’est facile... |
Malgré la distance nous séparant, tu es là Et je sais que je peux compter sur toi Tu devines des choses que je ne te dis pas Comme dans un livre ouvert, tu lis en moi
Entre nous, cela a toujours été comme cela De mes mails, tu retiens tout quoi qu’il en soit Tu me ressers certains détails lors d’un repas A ta façon très particulière, tu veilles sur moi
Je ne peux te tromper quand ça va couci-couça Tu connais mes tristesses comme mes joies Tu arrives à me faire avouer mes embarras Même de loin, ton... |
Petite lapine facétieuse et gourmande Avec une longévité exceptionnelle Partie au paradis un dimanche d’été Rien ne t’effacera de ma mémoire Intelligente, tendre et tellement douce Kleenex, j’en use depuis ton départ Amour de lapinou à jamais pour moi
M.M – 27 juillet 2014 |
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La découverte de la Sardaigne Serait trop douloureux pour moi De nouveau, mon cœur saigne Seule l’île de Mallorca me guérira
Encore une fois, je vais m’y réfugier Comme toujours, elle me soignera Et je pourrais ainsi me ressourcer Sillonner ses paysages m’apaisera
Revoir des endroits que je connais Me sentir, enfin, revivre, renaître Retrouver mes repères à jamais Et repousser tout mon mal-être
Etre pour un temps moi-même Ne plus avoir à donner le change Dans ce beau paradis... |
Il me semblait tout à fait inimaginable De ne plus penser à lui quelques heures Et pourtant, dimanche, ça a été faisable Il est sorti de ma tête, voire de mon cœur
Aussitôt reprise par cette atmosphère Estompés ces cinq derniers mois Je perçois cette ambiance familière Et je me trouve face-à-face avec toi
Sans m’en rendre compte, j’oublie tout Sauf le principal, la raison de ma présence Le clan se reforme, s’agrandit autour de nous On retrouve naturellement notre connivence
L’après-midi... |
J’ai toujours préféré des ténébreux Possédant de beaux yeux charbon Toi, tu es châtain foncé de cheveux Et ton regard est couleur céladon
Je ne suis jamais allée dans ton pays Ayant toujours privilégié l’Espagne Je vais m’y intéresser dès aujourd’hui En franchissant d’autres montagnes
Ce qui est très troublant pour moi C’est que tu résides sur une île, ton île L’histoire se répète encore une fois Jamais d’abord la péninsule et ses villes
Nous avons les... |
Le 04 septembre de l’année dernière, je faisais ta connaissance La vie reprenait grâce à toi, tu étais, pour moi, signe d’espérance On t’a soustraite à mon amour bien trop tôt, bien trop rapidement Sans explication, sans remord, sans excuse, malheureusement Et je me retrouve dans le plus grand désarroi, tellement perdue Tu n’étais qu’une petite canichette innocente, si fragile, si menue A toi, ma Lloseta, à jamais tu fais partie de ma famille, de ma vie.
M.M. 04 septembre 2016 |
Par la faute de tes silences Tu voles la fin de mon enfance Pourtant je ne veux pas oublier Tes mots pris en sténo par Mémé
Tu as bien enrichi mon vocabulaire D’hydromel et de napalm en vers Et ce chapiteau ne peut pas s’envoler Face à la fenêtre de cuisine de Pépé
Je veux me souvenir tout le temps De t’avoir aperçu vers les Champs Je ris encore de ton arrivée en retard En ce samedi après-midi banlieusard
Je chéris, dans mon coeur, très fort Ces dix années comme un trésor |
Quartier Nord, que deviens-tu ?
Le square de mon enfance enseveli sous les détritus La tour de mon adolescence taguée à son insu. Place du colonel subsiste encore mon église Combien de temps avant qu’ils ne la détruisent Mamie, tes charcutiers habituels ont disparu Mais les commerces d’Orient sont apparus Papy, qu’est devenu ton bureau de tabac ? Plus de Gauloise, mais narguilé et chicha Cette odeur caractéristique dans tes rues A remplacé l’odeur du Brie au lait cru Tes maisons sont devenues... |
Depuis quelques temps, j’y pense De plus en plus chaque jour Déménager, quitter la Provence Nous en avons fait le tour Rien ne nous retient ici J’étouffe, je manque d’air Je me sens comme en prison Loin d’ici apaiser ma colère Ne plus ressentir de tension Retrouver ma joie de vivre Que j’ai perdue désespérément De nouvelles choses à découvrir Après un ménage en grand !
M.M. 16 février 2018
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Où est passée notre complicité ? Et mon 06, tu l’as, aussi, oublié ? L’été dernier, tu ne m’as pas calculée Et celui-ci, complètement zappée
Mais pourtant, je n’ai pas rêvé Regards et fous-rires échangés Ta main sur ma cuisse à un déjeuner Caresses et massages pour me relaxer
Un dimanche de mars notre aparté Frites et autres desserts partagés Dans ma vie, tu savais t’imposer De moi, tu disais ne rien ignorer
Mais alors, entre nous, qu’est-il arrivé ? As-tu quelque... |
Depuis deux jours, tu es à quelques kilomètres de moi Et pourtant, je n’ai reçu aucun signe de ta part Même la sortie «Vidauban» qui s’annonce deux fois Ne te dit vraiment rien ou tu as perdu la mémoire ?
Il y a deux ans, nous nous retrouvions au même endroit Celui-là même où tu te situes aujourd’hui samedi Déjà ce jour-là, tu m’avais tenue à l’écart loin de toi Je subissais aussi l’organisatrice et sa jalousie
Et cette tablée qui t’accaparait, pour qui se prennent-ils ? Ils pensent... |
Vous, mes ancêtres, venus de Bretagne ou d’ailleurs Pour un travail, pour un amour, pour une vie meilleure C’est en Seine et Marne que vous vous êtes posés Les siècles ont passé et c’est aussi là que je suis née.
Toi, le Yougoslave, arraché à ta famille, à ta patrie Tu as été fait prisonnier par cet empereur pris de folie Toi, le Breton, venu pour les betteraves ou la moisson Tu n’es jamais reparti à Marpiré avec ton chapeau rond
Toi, Jean-Joseph Roisin, tu n’avais pas un nom d’ici Et... |
Jamais je n’ai ressenti ça Avant de te connaître, Lancinante et si grande douleur… On essaie de lutter pour ne plus souffrir, Une quantité innombrable de fois, Sans parvenir à faire taire ce chagrin. Il faudrait si peu pour être rassurée Et profiter pleinement de nos doux moments.
M.M. – 26 octobre 2004 |
Notre refuge, notre abri, notre maison Bien cachée, nichée sous les frondaisons Tu es là, protectrice, au fil des saisons
Où nous venons souvent nous ressourcer Où le temps, pour toujours, s’est arrêté L’espace de longues et belles journées
Havre de paix, coffre aux souvenirs Mon père y a vu ses enfants s’épanouir Nous y voyons les nôtres grandir
Le grenier devenu chambre d’enfants Tant de souvenirs d’adolescents Tendres moments, jeux innocents
Il y a au fond de... |
C’était une semaine de rêve Nous étions tellement heureux Dans ta vie de fou, une trêve Seuls au monde, que nous deux
Soudain notre destin se brisa Au détour d’un chemin creux Cette moto, ma rivale, gagna Ton passe-temps dangereux
Tous ces néons aveuglants Ces silences trop pesants Tous ces bips oppressants Et ces hommes en blancs
Tu es allongé ainsi inconscient Je me sens inutile et abandonnée Reviens-nous très vite, on t’attend Ne me laisse pas seule et accablée. |
Tu faisais partie de ma vie Tu as été le premier homme de ma vie Et aujourd’hui tu n’es plus là Mais je pense toujours à toi Je me rappelle notre complicité Onze ans se sont écoulés Mais je n’ai rien oublié Je me sens seule et abandonnée Mais je vous sais réunis Tous les deux Mamie et Papi Tu as été pour moi plus qu’un grand-père C’est toi l’homme dont je serais toujours la plus fière
M.M. – 02 décembre 2004 |
Le vingt décembre prochain Tu aurais eu vingt ans Tu es née au fond de la Brie Village d’Ozouer le Voulgis Où nos destins se sont croisés Petite boule de poils noirs frisés Très câline et affectueuse Obéissante mais fugueuse D’une santé très fragile Mais pour les soins, si docile J’ai tout partagé avec toi Mes peines et mes joies Il y a bientôt cinq ans Que tu nous as quittées Rejoindre Mémé et Pépé Blottie dans mes bras Je tentais de t’insuffler un peu de vie Je ne réalisais... |
Explorons ensemble le Val de Loire et la Touraine Régions d’Histoire, de châteaux, de rois et de reines Visitons le plus grand, le château de Chambord Ses 440 pièces et son escalier, un superbe trésor Retrouvons Moulinsart au château de Cheverny Ainsi que Tintin, Milou, Haddock et tous leurs amis Regardons les 04 siècles d’architecture du château de Blois Où le duc de Guise fut assassiné sur les ordres d’Henri III Contemplons le noble et élégant château de Chenonceau Avec ses arches qui enjambent le Cher et le rendent... |
Ça y est, l’automne est revenu Et avec lui, sa horde d’assassins Cachez vous, ne sortez plus Les petits amis, soyez plus malins
Toute cette bande de porcs Ils empestent la vinasse Ils appellent ça un sport Cette horreur qu’est la chasse
Avons-nous déjà pu oublier L’ourse Cannelle massacrée Son ourson devenu orphelin A cause d’un affreux crétin
Dire que tous ces meurtriers Ne seront jamais condamnés Qu’attend-on pour légiférer Pour qu’ils arrêtent... |
Rumba, avec toi, la gaieté est revenue à la maison Une petite boule de poils pleine de vie et d’affection Même si parfois tes aboiements «cassent l’ambiance» Bondissante, fofolle, câline, merci pour ta présence A toi, mon petit toutou qui m’apporte tant de joie
M.M. – 30 septembre 2005 |
Tu étais mon frère et tellement plus encore Nous partagions tout, même les coups du sort Nous n’avions pas besoin alors de nous parler Pour nous comprendre, seuls nos regards croisés Nous ne nous ressemblions pas beaucoup frangin Seul un signe distinctif, nous avions en commun Et pourtant nous étions plus liés que des siamois Nous ne formions qu’une personne toi et moi Ce qui est arrivé, aujourd’hui, je le savais Je le sentais, je te connais et je n’ai rien fait Nous avions la même fragilité, les mêmes... |
Fin de soirée, début juillet, 20 ans déjà Riu Centre, Playa de Palma, Mallorca Amour d’été devenu amitié et complicité Nous avons partagé des instants insensés Charmeur et séducteur, voilà comme tu étais Ibérique amour que je n’oublierais jamais Souvenirs formidables, tendres et acidulés Chaque retrouvaille est une joie renouvelée Oasis de bonheur et moments merveilleux.
M.M. – 11 octobre 2005 |
Tu n’es pas non plus ce que tu écris…
«Je te connais mieux que personne !» Et c’est vrai et tu m’impressionnes Je ne peux rien te cacher, aucun tracas Tu devines même ce que je ne te dis pas
«¡ Hola ! ¿ qué tal ?» Prononcé dans ce parc provençal Résonne encore à mes oreilles Et mon après-midi, tu ensoleilles
«Dimanche, il ne viendra pas !» Et tu tiens tellement que je sois là Finalement, tu auras bien deviné J’espère en être enfin débarrassée
«Tu es toute bronzée» |
Depuis toujours, tu illumines mi vida Tu me redonnes l’envie et la fuerza Nous avançons sur le même camino Grâce à toi, chaque jour est un sueño A tout moment, tu hantes mi cabeza En l’avenir, tu me rends la esperanza Partager ton quotidien illumine mi cielo A jamais, je vois mon avenir contigo Il y a longtemps, tu as pris mi corazón Notre amour ressemble à una pasión.
M.M. – 06 décembre 2014 |
Ce n’est ni un monastère, ni un carmel Surtout que nous sommes des infidèles Notamment toi, d’ailleurs, n’est-ce pas ? Moi, il n’y a qu’en toi et en nous que je crois
A peine quarante kilomètres de la maison Pas besoin de prendre le train ou l’avion Nichée au cœur d’un vieux village provençal Dans cette hostellerie, dépaysement total
Tu m’avais, juste, parlé d’un dîner fin Mais tu t’es transformé en magicien Tu as tout prévu, une suite est réservée Ambiance... | |
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